mercredi 16 septembre 2009

gifs animés = DARWIN ET VICTOR HUGO

La prostitution des citoyens qui s’offrent aux idéologies bourgeoises de la compétition et du mérite afin de survivre.


Les ordures en ordres.... où ''Chaque crotte est unique''.

Les mêlés et les écrasés du système ''Hiérarchies'' jouent aux héros et aux combattifs: ils ont oublié que la force est dans le respect des autres et leurs protections.

Les complexés sont dangereux car ils se vengent sur n'importe qui pour leurs impuissances à se dire et à s'affirmer sans marcher sur les autres.

''L'ENNEMI'' ce n'est pas la Chine/Russe/ou les extras terrestres .. NON, L'ENNEMI c'est l'ÉLITISME car il crée la majorité mondiale pauvre avec ses hiérarchies d'égoïstes et de vaniteux. Mettons en gêne ces baveux et arrogants, ces méritocrates qui défendent leurs privilèges égoïstement en affirmant qu'ils ont plus de diplômes, qu'ils sont plus compétent, mieux syndiqués et plus agressifs (plus indiférents et irresponsables) ......

TRAVAILLEURS PAR L'ESPRIT ÉLITISME CRÉENT ET MAINTIENNENT LA MAJORITÉ PAUVRE.
Hélas ''OUI'', ce sont les travailleurs qui trouvent ''normal'' que certaines personnes avec leurs enfants soient pauvres, du fait qu'elles ne travaillent pas. Alors, ces travailleurs méritocrat0-utilitaristes affirment que les gens sans travail sont ''paresseux'' et vivent en parasites..... ils oublient que : (1) LA SOCIÉTÉ EST PATRONNE DE TOUT, et la société c'est nous tous; (2) que le BIEN COMMUN DOIT RAPPORTER DES PROFITS À TOUS; (3) tous, sans exception NOUS SOMMES PROPRIÉTAIRES, GESTIONNAIRES, ACTIONNAIRES, BÉNÉFICIAIRES de notre Pays; (4) Nul ne doit être déshérité de sa société, de l'économie et de sa croissance....; (5) le travail est un privilège social et n'est qu'un acompte sur le partage final (Rente Citoyenne) et que les revenus apportés à tous par le Ministère de la Rente Citoyenne s'ajouteront aux salaires des travailleurs, il ne leur sera rien enlevé..... mais alors pourquoi les travailleurs continuent-ils à se dire contre le fait que des gens sans travail puissent avoir un BON POUVOIR D'ACHAT pour consommer les produits qui encombrent les supers Marchés ???; (6) Au Québec, 200 000 BÉNÉVOLES ne parlent jamais de ''profits'' ni d'argent ou d'équité: ils parlent d'Égalité, de dons, d'Entraide, ..... de Valeurs Fraternelles.... Ils sont à l'opposé de la mentalité des travailleurs égoïstes qui n'ont que la morale du salaire et qui ne travaillent que pour eux.....Ce sont eux qui l'ont construit --- ces travailleurs vantards-conformés ---- cette société qu'ils dénoncent pourtant !
Quand on ne sait pas partager et sécuriser tous les humains financièrement apparaissent alors des ennemis et tant de maux qu'il paraît impossible d'en sortir.....



Victor HUGO (1802-1885)

A un homme partant pour la chasse

Oui, l'homme est responsable et rendra compte un jour.
Sur cette terre où l'ombre et l'aurore ont leur tour,
Sois l'intendant de Dieu, mais l'intendant honnête.
Tremble de tout abus de pouvoir sur la bête.
Te figures-tu donc être un tel but final
Que tu puisses sans peur devenir infernal,
Vorace, sensuel, voluptueux, féroce,
Échiner le baudet, exténuer la rosse,
En lui crevant les yeux engraisser l'ortolan,
Et massacrer les bois trois ou quatre fois l'an ?
Ce gai chasseur, armant son fusil ou son piège,
Confine à l'assassin et touche au sacrilège.
Penser, voilà ton but ; vivre, voilà ton droit.
Tuer pour jouir, non. Crois-tu donc que ce soit
Pour donner meilleur goût à la caille rôtie
Que le soleil ajoute une aigrette à l'ortie,
Peint la mûre, ou rougit la graine du sorbier ?

Dieu qui fait les oiseaux ne fait pas le gibier.

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L'égoïste recherche son seul intérêt: l'humaniste celui des autres. L'État doit apprendre à sortir de l'égoïsme et de ses dépendances, à vivre sainement.


LES ESCLAVAGISMES des Religions et des Élites hiérarchistes

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Victor Hugo était végétarien et apparemment, antispeciste. Il était contre Napoléon 1er et il a fait tellement de discours, il était contre la dictature du Prince-Président, qu'il a failli se faire tuer lors d'un coup d'êtat et du coup il s'est éxilé durant 19 ans et faché, il a laissé pousser sa barbe. (si si c'est vrai !)


Victor HUGO
(1802-1885)

A un homme partant pour la chasse
Oui, l'homme est responsable et rendra compte un jour.
Sur cette terre où l'ombre et l'aurore ont leur tour,
Sois l'intendant de Dieu, mais l'intendant honnête.
Tremble de tout abus de pouvoir sur la bête.
Te figures-tu donc être un tel but final
Que tu puisses sans peur devenir infernal,
Vorace, sensuel, voluptueux, féroce,
Échiner le baudet, exténuer la rosse,
En lui crevant les yeux engraisser l'ortolan,
Et massacrer les bois trois ou quatre fois l'an ?
Ce gai chasseur, armant son fusil ou son piège,
Confine à l'assassin et touche au sacrilège.
Penser, voilà ton but ; vivre, voilà ton droit.
Tuer pour jouir, non. Crois-tu donc que ce soit
Pour donner meilleur goût à la caille rôtie
Que le soleil ajoute une aigrette à l'ortie,
Peint la mûre, ou rougit la graine du sorbier ?

Dieu qui fait les oiseaux ne fait pas le gibier.

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L'égoïste recherche son seul intérêt: l'humaniste celui des autres. L'État doit apprendre à sortir de l'égoisme et de ses dépendances, à vivre sainement.



Victor HUGO (1802-1885)

A ceux qui sont petits
Est-ce ma faute à moi si vous n'êtes pas grands ?
Vous aimez les hiboux, les fouines, les tyrans,
Le mistral, le simoun, l'écueil, la lune rousse ;
Vous êtes Myrmidon que son néant courrouce ;
Hélas ! l'envie en vous creuse son puits sans fond,
Et je vous plains. Le plomb de votre style fond
Et coule sur les noms que dore un peu de gloire,
Et, tout en répandant sa triste lave noire,
Tâche d'être cuisant et ne peut qu'être lourd.
Tortueux, vous rampez après tout ce qui court ;
Votre oeil furieux suit les grands aigles véloces.
Vous reprochez leur taille et leur ombre aux colosses ;
On dit de vous : - Pygmée essaya, mais ne put.-
Qui haïra Chéops si ce n'est Lilliput ?
Le Parthénon vous blesse avec ses fiers pilastres ;
Vous êtes malheureux de la beauté des astres ;
Vous trouvez l'océan trop clair, trop noir, trop bleu ;
Vous détestez le ciel parce qu'il montre Dieu ;
Vous êtes mécontents que tout soit quelque chose ;
Hélas, vous n'êtes rien. Vous souffrez de la rose,
Du cygne, du printemps pas assez pluvieux.
Et ce qui rit vous mord. Vous êtes envieux
De voir voler la mouche et de voir le ver luire.
Dans votre jalousie acharnée à détruire
Vous comprenez quiconque aime, quiconque a foi,
Et même vous avez de la place pour moi !
Un brin d'herbe vous fait grincer s'il vous dépasse ;
Vous avez pour le monde auguste, pour l'espace,
Pour tout ce qu'on voit croître, éclairer, réchauffer,
L'infâme embrassement qui voudrait étouffer.
Vous avez juste autant de pitié que le glaive.
En regardant un champ vous maudissez la sève ;
L'arbre vous plaît à l'heure où la hache le fend ;
Vous avez quelque chose en vous qui vous défend
D'être bons, et la rage est votre rêverie.
Votre âme a froid par où la nôtre est attendrie ;
Vous avez la nausée où nous sentons l'aimant ;
Vous êtes monstrueux tout naturellement.
Vous grondez quand l'oiseau chante sous les grands ormes.
Quand la fleur, près de vous qui vous sentez difformes,
Est belle, vous croyez qu'elle le fait exprès.
Quel souffle vous auriez si l'étoile était près !
Vous croyez qu'en brillant la lumière vous blâme ;
Vous vous imaginez, en voyant une femme,
Que c'est pour vous narguer qu'elle prend un amant,

Et que le mois de mai vous verse méchamment
Son urne de rayons et d'encens sur la tête ;
Il vous semble qu'alors que les bois sont en fête,
Que l'herbe est embaumée et que les prés sont doux,
Heureux, frais, parfumés, charmants, c'est contre vous.
Vous criez : au secours ! quand le soleil se lève.
Vous exécrez sans but, sans choix, sans fin, sans trêve,
Sans effort, par instinct, pour mentir, pour trahir ;
Ce n'est pas un travail pour vous de tout haïr,
Fourmis, vous abhorrez l'immensité sans peine.
C'est votre joie impie, âcre, cynique, obscène.
Et vous souffrez. Car rien, hélas, n'est châtié
Autant que l'avorton, géant d'inimitié !
Si l'oeil pouvait plonger sous la voûte chétive
De votre crâne étroit qu'un instinct vil captive,
On y verrait l'énorme horizon de la nuit ;
Vous êtes ce qui bave, ignore, insulte et nuit ;
La montagne du mal est dans votre âme naine.

Plus le coeur est petit, plus il y tient de haine

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Victor Hugo, végétarien

«Pourquoi la souffrance d’une bête me bouleverse-t-elle ainsi ? Pourquoi ne puis-je supporter l’idée qu’une bête souffre, au point de me relever la nuit, l’hiver, pour m’assurer que mon chat a bien sa tasse d’eau ? Pour moi, je crois bien que ma charité pour les bêtes est faite de ce qu’elles ne peuvent parler, expliquer leurs besoins, indiquer leurs maux. Une créature qui souffre et qui n’a aucune moyen de nous faire entendre comment et pourquoi elle souffre, n’est ce pas affreux, n’est ce pas angoissant ?»

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Victor Hugo était végétarien, il est devenu le président de la première Ligue contre la vivisection en 1833 (1833 n'est donc pas seulement la date du début de sa liaison avec Juliette Drouet...) et est l'auteur de cette très belle phrase: «Torturer un taureau pour le plaisir, c'est plus que torturer un animal, c'est torturer une conscience.» Victor Hugo n'apprécierait sans doute pas que systématiquement l'on oublie une partie de sa vie, de son combat...

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Victor Hugo

''De quel droit mettez-vous les oiseaux dans les cages?

De quels droits ôtez-vous ces chanteurs auc bocages?

Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents?

De quels droits ôtez-vous la vie aux vivants»?



Homme, crois tu que Dieu fasse naître
L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ?
Ne peux tu vivre heureux et content sans cela ?
Qu'est qu'ils ont donc fait tous ces innocents là
Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ?

Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ?
Qui sait si le verdier qu'on dérobe aux rameaux,
Qui sait si le malheur qu'on fait aux animaux
Et si la servitude inutile des bêtes
Ne se résolvent pas en Nérons sur nos têtes ?
Qui sait si le carcan ne sort pas des licous ?
Oh! de nos actions qui sait les contre-coups,
Et quels noirs croisements ont au fond du mystère
Tant de choses qu'on fait en riant sur la terre ?
Quand vous cadenassez sous un réseau de fer
Tous ces buveurs d'azur fait pour s'enivrer d'air,
Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue,
Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue,
Croyez vous que le bec sanglant des passereaux
Ne touche pas à l'homme en heurtant ces barreaux ?

Prenez garde à la sombre équité. Prenez garde !
Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde.
Ne comprenez vous pas que vous êtes méchants ?
A tous ces enfermés donnez la clef des champs !
Aux champs les rossignols, aux champs les hirondelles;
Les âmes expieront tout ce qu'on fait aux ailes.
La balance invisible a deux plateaux obscurs.
Prenez garde aux cachots dont vous ornez vos murs !
Du treillage aux fils d'or naissent les noires grilles ;
La volière sinistre est mère des bastilles.
Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux !
Toute la liberté qu'on prend à ces oiseaux
Le destin juste et dur la reprend à des hommes.
Nous avons des tyrans puisque nous en sommes.
Tu veux être libre, homme ? et de quel droit ayant
Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ?
Ce qu'on croit sans défense est défendu par l'ombre.
Toute l'immensité sur ce pauvre oiseau sombre
Se penche et te dévoue à l'expiation.
je t'admire, oppresseur, criant oppression !
Le sort te tient pendant que ta démence brave
Ce forçat qui sur toi jette une ombre d'esclave ;
Et la cage qui pend au seuil de ta maison
Vit, chante, et fait sortir de terre la prison.


12 mai 1856

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Victor Hugo
,

«Tant que l'homme se nourrira de chair animale, et martyrisera les animaux, restera en lui quelque chose de sauvage, ...

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LES PLUS GRANDS DE L'HISTOIRE

HUMAINE furent et SONT VÉGÉTARIENS


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